
La « Femme-maison » est née d’une envie de confronter un traitement de surfaces planes et lisses avec un traitement plus organique du corps qui comporte à la fois entailles et rondeurs. La tête agit comme un poids sur le corps, comme si les difficultés de la vie pesaient sur l’organisme. La maison qui évoque habituellement un repère rassurant, est dans cette sculpture une masse qui empêche le corps de se lever, de se déplier et de s’épanouir.